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12 mai 2006

Happy Anniversary !

C'était il y a 30 ans et on en parle encore !

Article paru dans Libération ce vendredi 12 mai :

lls sont légendaires. C'était il y a trente ans, le 12 mai 1976, l'apothéose de ce que l'on appelait «l'épopée des Verts». Pendant des mois, la France a vibré au rythme de l'Association sportive de Saint-Etienne (ASSE). Les initiés disaient «Aéssèss» ou «Sainté». On entonnait l'hymne de l'équipe : «Qui c'est les plus forts ? Evidemment, c'est les Veeeeerts ! On a un bon public et les meilleurs supporteeeeurs. On va gagner, ça c'est juré, alleeeeez, allez, alleeeez !» De Copenhague à Eindhoven, une bande de jeunes garçons aux cheveux longs écumait les terrains, renversant des situations désespérées jusqu'à se hisser en finale de la Coupe d'Europe des clubs champions. Et y retrouver, à Glasgow, le Bayern Munich de Franz Beckenbauer et Gerd Müller.

Le match se solda par une défaite 1 à 0 qui fut... fêtée par des centaines de milliers de personnes sur les Champs-Elysées. Des perdants magnifiques, comme la France aime en célébrer. Des vaincus admirables, victimes, forcément, de la malchance (ah ! ces maudits poteaux carrés qui ont renvoyé deux tirs de Saint-Etienne), et de l'arbitre (ah ! ce coup franc victorieux tiré par l'Allemand Roth avant que le mur vert ne soit prêt). Trente ans après, Hervé Revelli se réveille la nuit et se revoit donner un coup de tête trop mou pour renvoyer le ballon de Bathenay qui s'était écrasé sur la barre.

L'histoire des Verts, c'est le foot d'avant-Zidane et TPS. Avant la victoire, tant le foot français collectionnait les raclées, avant la violence dans les tribunes, avant l'argent dans les vestiaires. Dans le «Chaudron» de Geoffroy-Guichard bouillonnait toute une culture populaire. «On disait : "Ville ouvrière, équipe besogneuse"», rappelle Hervé Revelli. Saint-Etienne la grise, fille de la mine et de «la Manu» (Manufrance, la manufacture d'armes, seul sponsor du club), sur le point de se donner un maire communiste, Joseph Sanguedolce, en 1977, se reconnaissait dans cette équipe d'humbles. Pas de star, mais des fils d'ouvriers élevés au club. Pas non plus de mercato et de contrats éphémères. «On était vaillants, on ne lâchait rien, on avait l'amour du maillot», raconte Christian Lopez. «On portait des valeurs dans lesquelles les gens se reconnaissaient : abnégation, courage, rigueur, respect des gens simples», ajoute Dominique Rocheteau. Un foot d'antan, mais un club en avance sur son temps. Porté par un trio de précurseurs : l'entraîneur énigmatique, le «Sphinx» Robert Herbin, qui, à 67 ans, continue d'écouter du Wagner dans sa maison de l'Etrat; le dénicheur de jeunes talents, Pierre Garronaire, disparu en 1998; l'homme à la pipe, le président Roger Rocher, décédé en 1997, celui qui a fait basculer l'ASSE dans le monde de la modernité et de l'argent , puis dans celui des contrats bidons et des dessous-de-table. Jusqu'à chuter avec le scandale de la «caisse noire» au début des années 80.

Aujourd'hui, la plupart des Verts ne se sentent plus de leur temps. Négligés par le club où se succèdent des dirigeants, obnubilés, comme d'autres, par les retombées publicitaires et les droits télé. «Il reste quand même une mémoire de cette culture ouvrière, transmise oralement par les pères aux fils qui vont au stade», note l'historien du sport Pascal Charroin, auteur d'une thèse sur le sujet. A l'occasion d'un colloque organisé par l'université Jean-Monnet de Saint-Etienne sur «l'ASSE, mythe et réalités», les Verts sont devenus objet d'études. Et sujet de vénération dans un ouvrage au goût de madeleine (1). Libération est allé voir ce qu'ils sont devenus. Parce que trente ans après, qui c'est les plus forts ? Evidemment, c'est les Verts.

(Source : http://www.liberation.fr/page.php?Article=381394)

Et puis il y a aussi cet article.

Et pour ceux qui débarquent, "Sainté", c'est la ville où j'ai grandi.

See ya...

15:00 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (6)

06 mai 2006

Cinéma avril 2006

16 films en avril.

Classement :
1. Madame Hendersen présente… ***
2. Le monde de Narnia - chapitre1 ***
3. Jean-Philippe ***
4. The Secret life of words
5. Saw II ***
6. Le secret de Brokeback Mountain ***
7. Mémoires d'une Geisha ***
8. Jarhead ***
9. Lord of War ***
10. 16 Blocs
11. Walk the line ***
12. l'âge de glace 2 ***
13. Rent ***

14. fauteuils d'orchestre ***
9. Esprit de famille ***
15. Transamerica
16. Les dames de Cornouailles ***
17. Munich **
18. La doublure **
19. Dérapage **
20. La véritable histoire du Petit Chaperon Rouge **
21. Petites confidences à ma psy **
22. Harry Potter – La coupe de feu **
23. King Kong **
24. Une vie inachevée **
25. Je vous trouve très beau **
26. Toute la beauté du monde **
27. Appelez-moi Kubrick **
28. Separate lies **
29. Palais Royal *
30. Le cactus *
31. Et si c'était vrai… *
32. Enfermés dehors
33. Du jour au lendemain *
34. Les Brigades du tigre
35. Les Enfants du pays
36. Orgeuil et préjugés *
37. Good night and good luck *
38. Le nouveau monde *
39. Un ticket pour l'espace
40. Faux amis
41. La rumeur court
42. Les Bronzés 3, amis pour la vie
43. La planète blanche
44. Truman Capote

45. Riviera
46. Camping sauvage
47. La crypte

(en gras les nouvelles entrées dans le classement)

15:02 Publié dans Cinema | Lien permanent | Commentaires (4)

La photo du mois -Mai-

Ce mois ci dans notre calendrier 2006 :

Morgane - Usual Suspects :

janvier - fevrier - mars - avril

05 mai 2006

Droit au bus !

Je vous mets le récit que mon Amoureux a écrit sur notre forum suite à sa soirée au Stade de France :

Bonjour les enfants

Je vais vous raconter une histoire. L'histoire d'un petit garç... un garçon qui allait loin, très loin dans le nord, un endroit ou il fait tellement froid que les gens se nourrissent de Kebab à longueur de journées. Dans ce pays lointain, un stade a été construit. Comme ceux qui ont construit ce stade n'ont pas beaucoup d'imagination, ils l'ont appelé "de France", du nom du Royaume auxquels ils sont rattachés. Ils avaient auparavant appelé un tournoi et une bibliothèque dû même nom, ce qui prouve leur extrême vivacité d'esprit.

Ce royaume était dirigé depuis des lustres par un roi très vieux et très bête, appelé Jacques Chirac. Même si celui était omnipotent et ignorait royalement (c'est le cas de le dire) ses sujets qui n'avaient pas de travail et avaient de moins en moins de possibilité d'en trouver, il avait un mal fou à tenir ses ministres. Notamment l’un d’entre eux, un représentant du peuple des Nains, Nicolas, qui était très nerveux et était capable de faire et/ou dire les pire saloperies démagos pour que le peuple l’apprécie. Il voulait que le peuple l’aime, pour que celui-ci le soutienne quand il remplacerait le vieux roi fatigué. Car celui-ci était très vieux, mais ça je l’ai déjà dit.

Nicolas se dit dans sa petite tête de fouine : «le meilleur moyen pour que les gens m’aiment, c’est leur faire croire qu’ils sont entourés de gens dangereux, et qu’il n’y a que moi qui peut les protéger». Comme vous le voyez, Nicolas était peut-être démago et ambitieux, mais il était très malin, ce qui va souvent de paire par ailleurs. Pendant des années, il abreuva les gens de discours dramatisant, insultant les gens en difficultés pour que ceux-ci se révoltent et puissent se faire fendre le crâne par la police, sous l’œil bienveillant et moralisateur de ce que le célèbre poète Georges Brassens appelait les «passants honnêtes». La popularité du petit Nicolas montait en flèche.

Mais revenons au garçon qui allait au stade «de France». Ce jour-là y était donné un match entre deux clubs qui ne pouvaient pas se voir, qui se détestaient depuis des lustres. Comme souvent dans les haines séculaires, on ne savait plus trop pourquoi ils se détestaient. Un des deux s’estimait dénigré et rabroué par l’autre, qui était l’équipe de la capitale du Royaume, c’était donc une réaction régionaliste tout à fait classique du serf se révoltant contre son écrasant suzerain. L’autre, celui de la capitale, ne supportait pas la popularité extrême et l’arrogance de son rival, qui avait gagné bien plus de trophée et était soutenu dans tout le reste du pays.

Ces deux équipes étaient suivies partout où elles allaient par des hordes de supporters qui se détestaient viscéralement. C’était d’ailleurs cela le problème : si les deux équipes n’entretenaient qu’une rivalité sportive classique, les supporters ne s’aimaient pas pour des raisons que le sport ignore. Pour cette rencontre qui étaient la finale de la Coupe du Royaume, auquel le Vieux Roi ainsi que le Petit Nicolas devaient assister, les supporters s’annonçaient très nombreux, très énervés et très bagarreurs, du moins si l’on en croyait la propagande officielle.

C’était donc l’occasion idéale pour le Petit Nicolas de démontrer le danger dans lequel l’honnête population du Royaume était confrontée, et combien il était très fort pour mettre des policiers partout qui mettraient au silence ces sauvageons excités et réfractaires au bien aimé ordre public.

Lorsque le garçon, qui supportait le club de la capitale car c’était sa ville préférée et qu’effectivement, il n’aimait pas tout ce que l’autre club, à ses yeux populiste et tricheur, représentait, sans que jamais il ne se soit battu une seule fois, arriva aux abords du Stade «de France», il vit un nombre gigantesques de ses congénères se diriger vers le lieu de la rencontre, chantant, buvant, se tenant par les épaules, avec sur celles-ci des tuniques et des écharpes aux couleurs bleus et rouges de l’équipe. Rassuré par l’ambiance et émerveillé par le nombre, le Garçon, qui avait été continuellement prévenu par ses amis de l’extrême danger qu’il courait en ce rendant à ce match, savourait son bonheur à l’idée de cette grande finale.

Sur le chemin cependant, il eu peur : près de lui, et donc de ces milliers de supporters du club Bleu et Rouge, quatre supporters adverses, habillés de la tête aux pieds en Blanc, la couleur du grand club de Province, se dirigeaient tranquillement vers le Stade, sans se soucier des insultes et surtout du très grand danger auxquels ils s’exposaient. Mais étrangement, contrairement aux grandes annonces du Petit Nicolas et de la propagande officielle, pas un supporter Bleu et Rouge ne se rua vers eux pour les molester. Le garçon fut à la fois impressionné par l’inconscience et la provocation que ces quatre supporters véhiculaient, et par le fait que si violence il y avait, elle tenaient dans les mains que d’une petite minorité marginale et imbécile, mais terriblement mise en avant par Nicolas afin de servir ses ambitions.

Une fois devant les portes, le Garçon n’en compta qu’une seule d’ouverte. Il regarda autour de lui la multitude s’amoncelant, regarda l’heure et eu peur, mais compris. A une heure du début de la rencontre, il fallait faire traîner l’entrée de ces supporters si nerveux pour créer de l’énervement. La masse s’écoulait au compte goutte, les supporters étaient passés au peigne fin, un par un, tandis que l’énervement, légitime bien que regrettable et surtout évitable, montait dans les rangs de la masse. Celle-ci poussait tandis qu’elle grossissait inexorablement. Les policiers à cheval passaient parmi elle, narguant et toisant du regard cette vermine vociférante et si peu productive pour l’économie du pays.

La foule réclamait l’ouverture des trois autres portes mitoyennes à celle déjà ouverte, mais rien n’y faisait : malgré leur grand nombre, les policiers se refusaient à ouvrir et ainsi calmer la foule tout en continuant à fouiller précautionneusement. Le garçon était pressé de tout côté, de l’arrière pour ceux qui étouffaient et ne pouvaient plus attendre, et de l’avant par ceux qui n’aimaient pas être poussés de l’arrière. A son tour, il s’énerva : «Arrête de pousser», dit-il au petit bonhomme qui lui plantait son bras dans le dos pour qu’il avance, «ça sert à quoi de pousser ? C’est bloqué devant, ça n’avancera pas plus vite et ça pourrait surtout tourner très mal». Il le dit dans d’autres termes, qui n’ont pas leur place ici. Le petit bonhomme, devant la taille – imposante et épaisse – du garçon, se tut et rangea son bras. Mais cela continuait de pousser de plus en plus.

Miraculeusement, d’autres portes s’ouvrirent, et la foule se mit à pousser de plus belle. Le garçon, aussi lourd était-il, fut quasiment transporté vers une porte, sans que ses pieds puissent en décider. Enfin arrivé face au policier chargé de le fouiller, il écarta docilement les bras. L’officier le fouilla très superficiellement, ne jeta pas un regard dans le sac du garçon, et lui dit de circuler. Le garçon eut alors la preuve que les volontés sécuritaires du Petit Nicolas se résumaient plus à des gesticulations volontaristes qu’à de véritables actes. Mais il ne fut pas surpris, finalement. Derrière lui, des policiers chargèrent la foule sans la moindre raison, et là non plus il ne fut pas surpris. Il fut juste énervé car ses images allaient paraître dans les gazettes du lendemain, avec des sous-titres telles que «les forces de l’ordre interviennent face à des supporters surexcités».

Le garçon fit donc son entrée dans le Stade «de France», une arène majestueuse et immense, coupée en deux entre les Rouge et Bleu d’un côté, et les Blancs de l’autre. Sur la pelouse, les équipes terminaient leur échauffement. L’ambiance était indescriptible, et faisait dresser les quelques cheveux de la tête du garçon. Les deux peuples de supporters rivalisaient en chants, en insultes, mais aussi en drapeaux et en puissance sonore. Il s’imagina alors, joueur, être écrasé de chaque côté par la puissance quasi physique de ces deux monstres à multiples têtes mais à la voix unique.

Une fois revenues sur le terrain, les deux équipes s’alignèrent, car l’hymne du Royaume allait être exécuté. Le troubadour chargé d’annoncer l’hymne à la foule pris le soin de ne pas le nommer, car il portait, dans un malencontreux hasard, le nom de l’équipe de Province, et le Vieux Roi ne voulait pas que l’hymne soit sifflé par les Rouge et Bleus. Le garçon, contrairement à l’essentiel de ses voisins ne chanta pas les paroles de l’Hymne : il ne se reconnaissait pas dans un chant qui lançait un appel aux armes, et demandait qu’un «sang impur abreuve les sillons» du Royaume.

Puis le Vieux Roi descendit sur le terrain, pour saluer tous les joueurs. Le Roi était si impopulaire que le troubadour, pour éviter à nouveau une bordée de sifflets malvenus, ne le nomma pas mais annonça les «autorités officielles». Même loin, le garçon ne fut pas dupe et reconnu le crâne chauve et l’allure voûtée et fatiguée du vieux monarque desséché, et le hua. Mais il devait être le seul à avoir une bonne vue, car personne ne le suivit, et il se tut, dépité. Voilà une bonne raison de huer de perdue.

Le match commença, sous les vivats des deux peuples. Mais au bout de cinq minutes, celui de la Province fut mis au silence, tandis que l’autre explosa de bonheur : un joueur blanc perdit un ballon et un des attaquants vedettes de la Capitale venait de l’envoyer puissamment dans le but de Barthez, le gardien - vieillissant lui aussi – provincial. Dès lors, on entendit plus que la masse bleue et rouge ; le Garçon, qui d’habitude ne chantait pas trop et se contentait d’encourager à sa façon, fut pris dans l’ambiance et se cassa la voix. Le spectacle, sur le terrain comme dans les tribunes, était superbe ; jamais il n’avait connu une telle émotion dans un Stade, ou ailleurs.

Après la période de repos traditionnelle, son équipe marqua à nouveau : le buteur, Vikash Dhorasoo, n’était pas très populaire car il avait l’image d’un sportif intelligent et cultivé, en plus d’être un surdoué de ce sport, ce qui n’était pas bon dans un pays ou les simples d’esprits, les laborieux et ceux qui parlaient plus fort que les autres étaient montés au pinacle. Avec deux buts d’avance, on entendait plus les Provinciaux, tandis que l’ambiance dans la tribune capitale était extraordinaire.

La fin de la rencontre fut épique : les Blancs marquèrent un but, qui réveilla un temps l’autre moitié du Stade, puis poussèrent pour égaliser, se créant de belles opportunités mais aucun autre but ne fut inscrit, et le garçon pu exulter : en plus de gagner la Coupe, ce que son équipe avait réussi à faire six fois déjà lors des 25 dernières années, celle-ci battait son grand et arrogant rival, persuadé qu’il était de sa supériorité. Les deux équipes montèrent alors dans les gradins «huppés», ou ils ne risquaient rien, voir le Vieux Rois qui leur remettait magnanimement les lots de consolation, puis la Coupe. Malgré la distance, le garçon vit la Coupe briller dans les mains du capitaine des Rouge et Bleus, et il fut heureux, tout simplement.

Il s’assit (car, comme tout supporter qui se respecte, il avait vécu le match debout) et, avec un sourire béat, vit ses joueurs préférés faire la fête sur la pelouse, glisser sur celle-ci et sur le ventre, leur montrer la Coupe qui était aussi celle des supporters, puis ils s’adressèrent à eux, et le garçon fut ému, très ému.

Il sortit finalement du Stade et se dirigea vers les diligences qui devaient le ramener chez lui. Une foule gigantesque l’accompagna, faisant, la fête, chantant à tue-tête, sous l’œil torve et impersonnel des policiers omniprésents. Il retrouva sur le chemin son amour, qu’il embrassa. Et il remercia, du fond de son cœur, celui qui lui avait offert cette place, mais qu’il ne connaissait pas, car c’était un secret. Et ça rendait ce cadeau encore plus beau.

15:35 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (4)

Finale de la coupe de France

Samedi soir, alors que mon Amoureux était au Stade de France, j'étais chez Mona et Xavier (dit Zaza) avec Audrey, David et Laurent (c'est un peu notre QG du moment et je trouve ça cool !). David et Zaza voulaient regarder le match alors ils sont allés manger leur pizza devant la TV dans la chambre :

Et nous pendant ce temps on a bien rigolé ! Tout d'abord, Audrey nous a sorti un jeu de cartes rien que pour les filles avec des mecs tous nus dans des positions euh.... Je vous laisse juger :

A la mi-temps, les garçons nous on rejoints et certains d'entre nous ce sont amusés avec l'arbalette de Paul (le fils de Mona) à tirer sur l'écran les chanteurs de l'écran de veille de l'ordi (très drôle ça !) :

Et puis on a pris des photos rigolottes (suivi d'une séance de massage de Lolo sur Audrey) :

Mais on a aussi mangé un bon cake aux pommes, miam !

See ya...